Extraits du 4 mai 2020

Un poème de Pablo Neruda envoyé par Irène
https://lachimerecitoyenne.files.wordpress.com/2020/05/ode-a-un-camion-rouge.docx

Quelques photos sur berge envoyées par Sylvie https://lachimerecitoyenne.files.wordpress.com/2020/05/promenade_de_crue.docx

Un appel du Réseau Université sans frontières (RUSF) https://www.facebook.com/RUSF38/posts/1086374338415015

Un nouveau poème de Véronique https://lachimerecitoyenne.files.wordpress.com/2020/05/la_coquette_2_05_2020.doc

Un texte de Marianne Azario (5) https://lachimerecitoyenne.files.wordpress.com/2020/05/pour-que-tout-ne-reprenne-pas-comme-avant-51.docx

Un entretien avec Chamoiseau envoyé par Elisabeth https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/04/25/patrick-chamoiseau-le-virus-a-tout-bouleverse-mais-nos-imaginaires-sont-restes-pour-ainsi-dire-sideres/

Paresse

Au sortir du sommeil
Jusqu’en début de nuit
Sous la coupole du monde, je paresse
Je pourrais m’agiter et trouver mille occupations
Mais non, je paresse
Je ne bouge pas le buste, juste, je tourne la tête
Comme un oiseau
Et je vois le monde en format panoramique
Si je retiens mon temps
Les jours pourront bien ne durer qu’une minute
Moi, j’aurai l’impression qu’ils se seront étirés longtemps
Au sortir du sommeil
Jusqu’en début de nuit
Sous la coupole du monde, je paresse

Véronique Pédréro, le 25/04/2020

Deux liens sur le virus et le tabac envoyés par Philippe (le mari d’Odile) :
https://www.facebook.com/events/665168284053218/
https://theconversation.com/profiles/philippe-arvers-336166/articles


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> Retrouvez tous les extraits en suspension en période de confinement depuis le 19 mars 2020 <

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